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ENFANTS, ESPOIR DU MONDE : EEDM

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 Mouvement d'aide à l'enfance en détresse. Association dont la mission est reconnue d'utilité publique.

Nos objectifs : Education et santé 6000 enfants aidés là-bas Des bénévoles ici → La totalité des dons pour les enfants là-bas Parrainer un enfant avec seulement 25€ par mois, mais il ne reste que 6,25€ à votre charge après réduction d'impôt

Jérémie EFAMED

HAÏTI - JEREMIE

L’EFAMED .... Ecole de FAbrication Métallique pour Enfants Démunis

L'école de fabrication métallique pour enfants démunis, prise en charge, en 2001, par une jeune association locale, accueille une quarantaine d'enfants des rues ou déscolarisés. Ces jeunes sont "resocialisés" et suivent, en 2 ans, une formation professionnelle.
Objectif: mener les 20 jeunes en fin de formation vers un avenir autonome. A JEREMIE, en ville ils peuvent bénéficier des installations de EFAMED pour réaliser à leur compte des commandes qu'ils ont décrochées. Ceux de la campagne, s'installent dans leur village et répondent aux besoins locaux avec le minimum d'équipements qu'ils ont pu acquérir.
Depuis 2003, EEDM les accompagne.


Choisissez et cliquez

*Avril 2020 Le bout du tunnel mais le COVID-19 s’installe dans le pays

* 2018 - 2020: le pays s'enfonce dans la précarité et EFAMED est face à de grosses difficultés
* Mars 2016 – Trois responsables EEDM visitent EFAMED
* les dernières nouvelles 2015 concernant EFAMED
* le partenariat EEDM-EFAMED, un rapide historique
* la visite de responsables EEDM à EFAMED en janvier 2013
* le projet de dortoirs et sanitaires pour les internes financé par SANOFI
* un jeune de EFAMED "se raconte"
* témoignage d'un ancien élève

Avril 2020

Le bout du tunnel mais le COVID-19 s’installe dans le pays

La générosité des donateurs, fin 2019 et début 2020 a permis l’achèvement du chantier du bâtiment cuisine-sanitaires.
Depuis quelques semaines, les jeunes et l’encadrement du centre de formation EFAMED disposent d’un tout nouveau bâtiment cuisine et sanitaires.

L’immense gratitude des jeunes, envers EEDM, s’exprime à travers des lettres-témoignages et une vidéo. (voir ci-dessous)
Tout le monde est fier du résultat.

Malheureusement, l’irruption de la pandémie du COVID-19, ternit à nouveau le tableau.
Les denrées alimentaires et autres produits de première nécessité manquent pour certains et leurs prix augmentent de semaine en semaine.
La région de JEREMIE est en train de connaître un début de famine.
Ici, en raison des mesures sanitaires, les manifestations EEDM, source importantes pour alimenter nos engagements là-bas, sont annulées. L’énorme élan de solidarité constaté est essentiellement tourné vers les problèmes ici, localement. Qu’en sera-t-il pour la solidarité internationale ?
Cette année 2020, est inquiétante pour EEDM.
L’association parviendra-t-elle à pérenniser le fonctionnement entre autre des cantines des écoles en HAÏTI ?
Merci à vous de continuer à soutenir EEDM et les jeunes de EFAMED entre autres.

2020efamed.jpg voir la vidéo

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Les nouveaux sanitaires enfin suffisant pour 50 personnes

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La nouvelle cuisine

Les remerciements d'étudiants

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* 2018 - 2020: le pays s'enfonce dans la précarité et EFAMED est face à de grosses difficultés

Scandales et corruptions

L’élection de Moïse JOVENEL en 2016 devait tout arranger. Il n’en fut rien ! Pire, puisque dans cette ambiance de corruption généralisée, éclate le scandale PETROCARIBE

Pour mémoire

Le Petrocaribe est une alliance entre les pays des Caraïbes et le Venezuela, premier exportateur de pétrole brut latino-américain, leur permettant d'acheter le pétrole à ce dernier à des conditions de paiement préférentielles. Ce dispositif devait générer une économie de près de 4 milliards de USD en HAÏTI, destinés à être injectés dans un plan social.

En HAÏTI aussi, le développement des réseaux sociaux a permis de mettre au grand jour les détournements des fonds Pétrocaribe et bien d’autres scandales politico-financiers.

Le pouvoir en place et l’opposition politique financent des gangs rivaux qui sèment la terreur dans le pays.

Il « n’y a plus d’état » et la situation économique devient dramatique : des prix qui explosent, des pénuries de carburant, de denrées alimentaires, l’économie est à l’arrêt.

Le pays est secoué par de violentes manifestations et les écoles sont obligées de fermer temporairement.

Visite du centre

Après les violences et les manifestations de l’été 2018, de sérieux troubles se sont produits en février 2019. Anne, Marie France et Francis, 3 responsables EEDM de centres en Haïti ont décidé au dernier moment de maintenir leur visite des centres en mars 2019 .

La situation était encore tendue, mais avec quelques précautions, tout s’est bien déroulé. EEDM savait que les fonds virés arrivaient rapidement sans encombres dans les centres. Les responsables ont pu vérifier que les écoles fonctionnaient sans encombres, surtout en province ; ils ont pu faire le tour des 13 centres. L’accueil fut très chaleureux, les enfants ravis de venir à l’école et de profiter de la cantine, souvent le seul repas copieux et équilibré de la journée.

Ecoles et centres de formation fonctionnent mais les difficultés financières sont énormes ; les budgets existant ne suffisent plus. c’est bien sûr le cas de EFAMED, d’autant plus que les commandes de produits à fabriquer à l’atelier (puisque l’économie va très mal) deviennent rares, ce qui réduit fortement la capacité d’autofinancement du centre de formation.

2020-02-groupe devant nouveau batiment.jpg 2020Dortoir.jpg  2020atelier soudure.jpg

Les difficultés de EFAMED

Au terme de pénibles procédures judiciaires, fin 2018, EFAMED est expulsée de ses locaux car l’association américaine HHF veut récupérer le terrain dont elle est propriétaire. EFAMED s’installe, en face, sur le terrain et dans les locaux de la coopérative créée par les sortants de EFAMED ; coopérative à l’arrêt parce que les membres se sont installés dans leur village d’origine.

Le matériel est là, mais les locaux sont insuffisants.

L’année 2019 s’annonce chaotique : il faut transformer les locaux existants puisqu’ils n’étaient pas aux normes parasismiques. Il faut réinstaller l’atelier et ses machines, la salle de travail et le dortoir pour une bonne vingtaine de pensionnaires.

2020Pour etre aux normes parasismiques.jpg 2020le batiment aux normes parasismiques.jpg

Mais il n’y a qu’un local « toilette et sanitaire » provisoire et exigu et la cuisine pour 50 personnes à midi et les pensionnaires le matin et le soir, doit se faire en plein-air.

2020Cuisine en plein air.jpg 2020bloc sanitaire fosse sceptique.jpg

Il fallait donc construire un bâtiment cuisine-bloc sanitaire.

Pour réunir les fonds, les responsables de EFAMED « courent après les commandes » de produits à fabriquer dans l’atelier ; les jeunes n’hésitent pas à participer aux travaux du chantier.

Bien sûr David Latour, le Directeur, se tourne vers EEDM et appelle au secours.

EEDM lance un appel aux dons sur son site et ouvre une cagnotte sur internet. Nos fidèles donateurs répondent aussi. Ainsi EEDM envoie 13200 € pendant l’année, pour cette construction.

2020Le batiment prend forme.jpg 2020Local au sec mais non amenage.jpg

Début 2020, il faut encore trouver les fonds pour le carrelage, le crépis, la peinture, les huisseries et l’équipement intérieur.

Les jeunes et leurs responsables continuent de se battre et comptent encore sur le soutien de EEDM.

Merci à vous, d’avoir répondu à nos appels, merci de ne pas « abandonner » ces jeunes qui espèrent l’aboutissement rapide de ce chantier.

Francis WOLFF

Mars 2016 – Trois responsables EEDM visitent EFAMED

Depuis notre visite en 2013, des avancées notables ont marqué la vie de EFAMED.

* La COOPAMEJ, coopérative des « sortants » (élèves formés à EFAMED) regroupe de plus en plus « d'anciens » de EFAMED et développe son activité, ce qui bénéficie aux élèves en formation.

* La cantine, pour tous à midi et pour les pensionnaires aussi le matin et soir, a pu pérenniser son fonctionnement sur l'ensemble de la semaine, à la suite du transfert d'une quinzaine de parrainages EEDM et de l'attribution de subventions. Tout le monde apprécie. L'ambiance dans le centre, ainsi que l'assiduité en cours et au travail aussi bien scolaire que pratique à l'atelier, s'en ressent grandement.

* Trois subventions, en 2015, de la ville de STRASBOURG, de la REGION ALSACE et de l'association JOSSH, ont été bienvenues pour améliorer la cantine, acquérir des équipements et du matériel d'atelier.

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Nous avons été accueilli par David LATOUR toujours aussi dynamique et surbooké, au four et au moulin...et au téléphone tout le temps. NAROMIE l'adjointe est aussi très efficace dans la gestion quotidienne. Elle a décroché en 2014, 2 diplômes à Turin en droit, économie et échange internationaux. C'est précieux pour suivre la situation de EFAMED, de la coopérative des sortants et de l'école des Gommiers.

Notre arrivée et prise contact s'est faite le dimanche en fin de journée (pas d'activité dans le centre) ; elle s'est poursuivie le lundi matin, c'est-à-dire, dans un EFAMED en pleine activité.

Dès 8 heures, nous avons vu les « première année » en cours de métrologie, les « deuxième année » à l'atelier et la cuisinière en plein préparatifs du repas de midi. Un menu, comme presque tous les jours, à base de riz et de pois, accompagnés d'une « sauce » avec épices, légumes et ce jour-là, un morceau de saucisse fumée

En fin de matinée, le repas est prêt ; 2 jeunes par classe transportent les assiettes préparées, jusque dans les salles où les jeunes mangent à leur table de travail

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Les 18 internes n'ont pas beaucoup de place dans l'enceinte pour se distraire (de la musique pour passer le temps) ; David est opposé à l'installation d'un téléviseur qui nuirait au travail scolaire après les cours.

L'ensemble fonctionne toujours de manière satisfaisante. Les « anciens » de EFAMED, de la coopérative, sont toujours une aide précieuse et les commandes extérieures reprennent un peu : le jour de notre visite David a enregistré la commande de 280 bancs d'école métalliques par CARE, pour distribution dans les écoles de la ville et environs. Une nouvelle réjouissante, qui stimule Direction et jeunes, et va améliorer un peu l'autofinancement de la structure.

La notoriété de la structure est reconnue dans tout le département de la Grande Anse et David a toujours plein de projets en tête.

Depuis plus de 12 ans, EEDM soutient les projets et la dynamique de EFAMED. Avec vous, parrains et donateurs, nous comptons bien poursuivre le partenariat avec ces 40 jeunes et leur équipe d'encadrement.

Francis WOLFF avril 2016

Les dernières nouvelles 2015 de EFAMED à JEREMIE-HAÏTI

* ces derniers mois, en 2015, EEDM a bénéficié de 3 subventions :

¤ 1000 € de la Ville de STRASBOURG pour mieux équiper la cuisine de la cantine, ainsi que les dortoirs des internes ; le centre pourra aussi améliorer la formation des jeunes par l'achat ou le remplacement de matériel.

¤ 2000 € de la Région ALSACE pour mieux équiper l'atelier de fabrication en métallerie et honorer les commandes extérieures (portails, fenêtres, grilles, ….) dans le but d'autofinancer partiellement le fonctionnement du centre ;

¤ 2200 € de l'association JOSSH, pour l'achat d'une plieuse (de tôles) et remettre en état la génératrice électrique.

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* la cantine fonctionne mieux et en continu

Depuis la rentrée 2015, à la suite de la mise en place à EEDM, des parrainages de cantines, le soutien de EEDM permet de préparer, quotidiennement, un repas équilibré à midi aux 50 jeunes présents et matin et soir aussi aux 25 internes

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Ce 23 janvier 2013, pour la seconde fois, depuis le séisme de 2010, nous visitons l’EFAMED

A la sortie du petit bimoteur à hélice qui nous a transportés en moins de 45 minutes de Port au Prince à Jérémie, David Latour, Directeur de l’EFAMED nous attend.
Par une route en très mauvais état, nous rejoignons la ville et nous rendons rapidement à l’EFAMED. Les locaux, très proches les uns des autres, vu l’exigüité du terrain, n’ont guère changé depuis la construction du dortoir pour les 20 internes et la cuisine pour la quarantaine de jeunes présents chaque jour.

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Dans les 2 dortoirs les 20 internes sont un peu à l’étroit

Le bruit assourdissant de la génératrice (groupe électrogène en relève du réseau défaillant, tous les jours, une grande partie de la journée), le bruit des ferrailles manipulées, le bruit des postes de soudure ne permettent pas d’échanger facilement avec les jeunes de l’atelier. Dans la salle de cours, c’est beaucoup plus calme et studieux , avec au tableau, un jeune formé à l’EFAMED il y a quelques années et recruté, à présent, comme formateur

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Jeune récemment formé et devenu formateur

Atelier et salle de cours sont en partie vides, comme dans toute la ville où les écoles sont fermées (elles ont rouvert le 4è jour) en raison de violentes manifestations (un manifestant tué la veille) pour protester contre l’interruption du chantier routier qui doit désenclaver Jérémie, aussi contre les incessantes coupures de courant.
Les jeunes étaient en train d’assembler un portail, une commande qui va générer quelques fonds devant accroître l’autofinancement du centre ; actuellement il couvre environ 30% des besoins, EEDM finance les 70% restants
David Latour démarche les entreprises et particuliers pour décrocher des commandes (portes, fenêtres, …). Il regrette les commandes de portes de DIGICEL, opérateur téléphonique. C’était pour sécuriser les antennes implantées dans le secteur

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Dans l’atelier, les jeunes soudent et assemblent un portail

L’essentiel des dépenses relève de :
* l’énergie, puisque le groupe électrogène est très sollicité lors des nombreuses coupures de courant
* les salaires des enseignants et formateurs
* l’alimentation pour la cinquantaine de repas quotidiens servis par la cuisinière de la cantine.


Toujours avec le souci d’autofinancer le fonctionnement , voire mettre en place d’autres projets, David Latour a imaginé d’autres sources de revenus

  • il a acheté une raboteuse pour raboter les planches des artisans de la ville, ce qui génère 20 à 100 USD de revenus quotidiens
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Une raboteuse pour travaux extérieurs générant des revenus
  • il vend les copeaux de la raboteuse aux éleveurs de poulets
  • il a acheté un compresseur et « congélateur » pour congeler et vendre des sachets plastiques d’eau potable .

EFAMED finance aussi en partie, le fonctionnement de l’école des Gommiers, à quelques kilomètres de la ville, un autre projet initié par David Latour et soutenu par EEDM


David Latour est un gestionnaire et un organisateur hors pair, il a toujours des idées et des projets « sur le feu » ses compétences et son efficacité sont reconnues dans toute la ville


Voilà 2 projets qu’il soumet à EEDM depuis quelques années :
L’ouverture d’une école du soir pour 30 jeunes en domesticité. Ces jeunes (parfois enfants) appelés RESTAVECS, de milieu pauvre, sont placés dans des familles aisées et assurent les tâches ménagères pendant la journée. Ils ne sont donc pas scolarisés. L’école du soir essaie d’y palier
Un centre de formation en couture et cuisine (50 filles) dans un souci de sortir filles et jeunes de « l’errance », de l’inactivité, de la tentation du trafic de drogue et de la prostitution.


L’autofinancement (toujours en point de mire ) N’est malheureusement pas à la hauteur des attentes et pour le moment, EEDM ne peut répondre favorablement à ces demandes, par manque de moyens


Réalisations en cours hors EEDM
* Coopérative, pour les sortants de EFAMED, de production métallique ; une ONG américaine lui verse 300 000 USD en 3 ans pour ce projet ; le démarrage d’une production de brouettes est prévu en mars 2013. Le bâtiment est achevé, des machines et un petit pick-up ont été achetés.
David cherche désespérément un formateur (hors HAÏTI parce que inexistant) de langue française pour la formation et le démarrage de la coop
* Village de 10 bâtiments de 4 logements chacun, pour déplacer des familles sinistrées des cyclones ou très mal logées en bord de mer (en danger par très grosse mer). Deux bâtiments sont occupés. Le financement est assuré par la Fédération européenne des KIWANIS . Ce village devra se constituer en coopérative pour « gérer » le quotidien … un projet de poulailler (1000 poulets en batterie) devrait y voir le jour

Un projet subventionné : des douches et un dortoir


Décembre 2007, mon entreprise, Sanofi Aventis, faisait un don de 5000€ pour aider EFAMED à construire un dortoir et des sanitaires afin d’améliorer les conditions de vie et d’études des jeunes Haïtiens démunis qu’EEDM s’est engagé à aider régulièrement depuis 2004 pour qu’ils puissent bénéficier d’une formation professionnelle et avoir un avenir plus souriant.

En cinq mois, David Latour, directeur de EFAMED, a mené ce projet à terme avec efficacité, rapidité et tout l’enthousiasme que nous lui connaissons.
Dès fin mai, les jeunes ont pu inaugurer, en faisant une petite fête, les salles de bains et dortoirs construits pour eux.
Dans un courriel, David me faisait part de toute la gratitude, que les étudiants ont manifestée, quant à la générosité de Sanofi Aventis. Ils sont contents et apprécient beaucoup ce confort, nouveau pour eux, qui leur permettra d’étudier dans de meilleures conditions et d’améliorer leur hygiène de vie si rudimentaire pour la plupart d’entre eux démunis de tout.
J’ai eu beaucoup de plaisir et d’émotions à suivre et à vivre le développement de ce projet avec David.
Chercher et trouver de l’argent est difficile, peut-être connaissez-vous des entreprises qui font du mécénat, prêtes à nous aider et à qui nous pourrions présenter nos buts et des projets à soutenir.
Notre aide et nos investissements ne sont jamais vains, se battre pour aider autrui, même si nous ne le connaissons pas, c’est voir dans son regard l’étincelle de l’espoir briller, c’est aussi s’apporter du bonheur.
Je vous laisse découvrir les photos de ce moment d’émotion.
Claudine Drouet











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